Ceci est le seul chemin menant au château des Von Kray. Il est constamment recouvert d’un verglas glissant et de pierres pointues avec parfois de la neige blanche. Mais le danger le plus important est en réalité le vide sans fond qui vous attend au moindre faux pas sur ce sentier étroit, alors soyez attentifs ! Le lieu n'est pas très accueillant, pas plus que la demeure que vous pouvez voir en arrière-plan. Le château en vaut-il la chandelle ? A vous de voir !

Juste après avoir franchi les deux immenses portes de granite, cette salle spacieuse et rectangulaire, est décorée de flambeaux sur les murs et d’un immense lustre au plafond. Elle est toutefois peu meublée. Au milieu de cette pièce se trouve une grande table en pierre du même bloc que le sol. De part et d’autres des côtés les plus longs de cette table, se trouvent quatre trônes, chacun décoré de façon différente. Mais au bout de cette table se trouve un neuvième trône bien plus grand que les autres, richement détaillé et étant sculpté dans un bloc d’obsidienne pure. Derrière celui-ci se trouve une grande cheminée dont le feu ne semble jamais être éteint. Accrochés juste au-dessus de l’âtre se trouvent huit tisons, chacun portant un chiffre à son extrémité. Ils sont assemblés de telle sorte qu'ils forment une étoile à huit branches.

Il y aurait un trésor caché dans la salle.

Dans la plus haute tour du château se trouve un couloir. Celui-ci est parsemé de portes menant chacune à une grande chambre personnalisée par son propriétaire. Sur ces portes se trouve un numéro allant de un à neuf dont chacune est sculptée dans un minerai différent.

Derrière le château se trouve un grand terrain plat. Il est recouvert de centaines de bonhommes de neige de toutes tailles et de qualité variable. Mais au centre de tout ces êtres de neige, se trouve une immense statue représentant un Célébi assis sur une tête et dont les détails sont à couper le souffle. Au pied de celle-ci, on peut voir une petite stèle en pierre sur laquelle est écrit ce texte: “A toi, à qui j’aurai tellement aimé dire une chose.”